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Le voilà enfin, l'album que des millions de personnes attendaient... Et il s'intitule tout simplement 25. Depuis son dernier single, l'oscarisé Skyfall (sur la b.o du James Bond du même nom), Adele s'était éclipsée de la scène musicale pour se recentrer sur sa famille loin, très loin des projecteurs. La rareté, une notion qui semble superflue pour une artiste d'aujourd'hui, est intrinsèque depuis les débuts d'Adele.

C'est fin 2013 que le trio est parti en Californie les bras chargés de nouveaux titres pour enregistrer cet album aux Sunset Sound Studios de Los Angeles sous la houlette du producteur Greg Gordon.

Enfant illégitime de Tom Waits, Captain Beefheart et Dr. Feelgood, le combo new-yorkais mené par le guitariste, harmoniciste Wade Schuman revient avec cet album époustouflant, fusionnant les genres et les époques du blues des années 20-30 au klezmer, du swing et du Rn'B aux sons néo-orléanais.

La première chose qui saute ici aux oreilles c'est que ce deuxième opus ne ressemble à rien de ce qu'on a entendu jusque là. Le premier album avait rempli son office en définissant le groupe. Il offrait un vrai contraste avec les Bad Seeds. Nick, Warren, Martyn et Jim ont construit une façon distincte de travailler ensemble. Ils se sont débarrassés de leur bagage sonore, des idées toute faites et mis à l'épreuve leurs identités préconçues de musiciens.

Sofiane Pamart, le "Piano King", présente Letter. Après Planet, son premier opus solo couronné de succès, Sofiane Pamart a composé et écrit 18 titres qu'il dédie affectueusement à ses auditeurs et auditrices. "Letter" ou sa lettre d'amour et de remerciement à son public. Habitué des scènes prestigieuses, il est à mi-chemin entre la grande musique de film et les récits d'aventures. Son oeuvre à la fois ténébreuse et poétique, incarne une justesse émotionnelle qui permet de toucher un public très large ; de la grande oeuvre accessible à tous. Pianiste star, Sofiane Pamart sera le premier soliste à se produire à Bercy.

L'album Breakfast in America du groupe fut le bestseller de 1979. Il engendra plusieurs hit-singles, allait remporter 2 Grammy Awards et vendre plus de 20 millions d'exemplaires dans le monde. Après la sortie du groupe, le groupe embarqua pour une tournée mondiale de 10 mois qui allait faire escale à Paris fin Novembre au Pavillon de Paris. Ici et pour la première fois, la vidéo et l'audio sont regroupés dans un triple digipack.

Chef-d'oeuvre initialement paru en 1982, l'album culte du co-fondateur du Velvet Underground est ici réédité remasterisé et accompagné de 3 titres inédits issus des séances d'enregistrement d'époque.

Il aura fallu attendre dix ans pour voir la parution du volume 2 des enregistrements des Beatles effectués à la BBC entre 1963 et 1964. Au total, 63 enregistrements, tous différents de ceux du premier opus : 37 titres live inédits accompagnés de 23 interviews et autres documents sonores. C'est dans les studios de la BBC que ces enregistrements ont été réalisés au cours de diverses émissions de radio. C'est l'occasion unique de retrouver ou de découvrir le son des Beatles jouant pour leur public. Ravi d'entendre à nouveau ces superbes enregistrements, Paul McCartney a déclaré : "Il y avait beaucoup d'énergie et d'esprit. Nous nous donnions à fond, ne retenant rien, essayant de donner le meilleur de nous-mêmes à chaque fois."

Cette compilation révèle trois titres inédits du groupe avec Freddie Mercury. There must be more to life than this (un duo resté inachevé entre Queen et Michael Jackson), Let me in your heart gain (issu des sessions de l'album The works), et une version épurée du premier tube solo de Freddie Mercury, Love kills, élaborée en collaboration avec Giorgio Moroder.

Ayant pris ses marques en tant que songwriter et guitariste avec le groupe californien Allah-Las, Pedrum Siadatian a également suivi son propre chemin en solo sous le nom de Paint. Faisant suite à un premier album éponyme sorti en 2018, il revient avec l'ambitieux Spiritual vegas, un opus singulier, qui trouve sa cohésion par la diversité. La production se démarque clairement, avec une clarté et une variété des tons accrues, s'inspirant de l'art rock des années 80 / 90 comme The Meat Puppets et The Magnetic Fields. Des échos de William Burroughs et Gregory Corso peuvent aussi s'entendre entre les lignes, alors qu'Allen Ginsberg lui-même fait une apparition.